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Avez-vous l’impression de toujours courir? Le réveil sonne, et tout s’enchaîne : se préparer, partir au travail, gérer les tâches, les courriels, les obligations professionnelles et familiales, puis rentrer, cuisiner, ranger… avant de recommencer le lendemain.

Dans un tourbillon, la vérité tourne trop vite pour être vue. Et celui qui crée le chaos finit toujours par prétendre que c’est toi qui ne sais plus où tu en es.

Vendredi dernier, j’ai eu le plaisir d’assister à la pièce « Candide » au Théâtre Denise-Pelletier, et je peux dire sans hésiter que j’en suis ressortie complètement charmée. Cette adaptation du célèbre conte philosophique de Voltaire réussit un pari audacieux : offrir une expérience théâtrale à la fois ludique, imprévisible et profondément actuelle.

On imagine la violence conjugale comme quelque chose de visible, de tangible : des coups, des blessures physiques, des trous dans les murs et des objets qui revolent. La violence psychologique et coercitive, elle, ne se voit pas. Elle infiltre le cœur. Elle abîme l’âme. Elle s’introduit dans la tête et fait douter de la réalité.

Le but de la démarche est d’avoir plus d’espace, d’énergie et une meilleure organisation. C’est une question de minimalisme pour garder ce qui sert et vous apporte quelque chose. À chaque personne de définir ce qui est essentiel pour elle. Sans se juger, il faut juste prendre conscience de la situation et passer à l’action.

Le public a ri, fort et souvent. Quand les lumières se sont rallumées, l’audience s’est levée pour le saluer. Galé aller n’est pas juste un retour sur scène. C’est un récit de résilience qui aborde la santé mentale, la famille et les enjeux du quotidien avec brio. Un spectacle qui prouve qu’on peut rire de tout, tant qu’on le fait avec cœur, courage et une bonne dose d’autodérision.

Si tu cherches un « spot » où manger, boire et danser un peu sans te casser la tête, direction Zama, au 3709, boulevard Saint-Laurent. Oui, oui, cet endroit mythique qui abritait autrefois le Tokyo Bar a repris vie sous une toute nouvelle ambiance.

Avant de croiser la route de la communication non violente (CNV), je pensais savoir communiquer. En réalité, je réagissais. Mon mode par défaut était la défensive, parfois le jugement. Je voulais créer du lien, mais je semais souvent la distance.

Il est vrai que les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Tout de même, la majorité des touristes ayant déjà visité l’Italie affirment que ce pays demeure l’un des plus magnifiques et emblématiques de la culture européenne!

Mercredi soir dernier, le MTELUS vibrait pour le Premier Gala de l’ADISQ 2025, une soirée où tout le monde était réuni pour célébrer la musique québécoise dans ce qu’elle a de plus vrai, de plus fort et de plus stylé.